Le petit cabanon

Sourd-Muet Date d'inscription : 14/10/2011

Khris avait suivi le connétable Wolf loner jusqu'en ces lieux.
Il s'arrêta au poste de garde pendant que son hôte alla parler à quelques personnes.
Alors que le garde à l'entrée le regarda d'un oeil interrogatif, Khris voulut un peu le rassurer.

Bonjour.
Je suis Khristof17, seigneur de Rocquecelier, Mestre de camp de la COBA, l'OST auvergnate.
Comme vous avez pu le voir, Messire Wolf loner votre connétable, m'a convié en ces lieux afin de m'entretenir de questions militaires pouvant intéresser nos deux provinces.

Sujet: Re: Le petit cabanon Ven 14 Oct 2011 - 19:08

Le connétable revint voir le Mestre de camp.

Bien mestre Khristoph, veuillez me suivre dans la salle d'Etat-Major

Sourd-Muet Date d'inscription : 14/10/2011

Je vous suis toujours Messire connétable

Timide Date d'inscription : 23/10/2011

Tourne en rond devant le Castel… Donne un coup de pied sur un caillou et pousse ce même caillou pendant de longues minutes qui lui paraissent une éternité… J’y vais! Je n’y vais pas! Ha la la Bondiou! J’y vais! Ce dit la rousse en s’amenant d’un pas décidé vers le petit cabanon. Se dandine de gauche à droite pour parvenir à voir quelqu’un et …

-Heu heum! Bien le bonjour! Je suis Mirandalyne en provenance de Ventadour et j’aimerais rejoindre l’armée! À qui m’adresser, j’en ai aucune idée! Auriez-vous l’amabilité de m’indiquer qui et où dois-je me rendre je vous prie?

Incorrigible bavard Date d'inscription : 18/05/2011

Le petit page personnel de la rousse Capitaine qui la suivait pour ainsi dire partout faisait actuellement de nombreux allers et retours entre la Compagnie d'Ordonnance, le Pavillon des Emissaires et le Castel Comtal. Sa maîtresse était tombée ! Saletés de Ponantais ! Et à deux semaines à peine de son mariage en plus de ça ! Ah, elle allait être belle la presque Malemort quand il faudra impressionner toute le gratin du Royaume, la Reyne y compris !
Il pestait le garçonnet d'une dizaine d'années, il pestait et marmonnait, et grognait. Oui c'était un râleur, comme la Carsenac, puisqu'on ne change pas une équipe qui gagne. Si elle s'en sortait pas, il irait lui-même démonter des méchants avec son lance-pierre. Entre les deux yeux, et PAF !

BOUM !

Et le gosse qui, tout à ses pensées, n'avait pas remarqué qu'une femme s'était mise en travers de sa route, venait de se la prendre en pleine face et de se retrouver sur les fesses, normal avec l'élan qu'il avait. Il grogne, chasse les étoiles de son regard et cligne des yeux en regardant la silhouette cause de sa chute. Tiens...Une rousse...?

- Capitaine ?

Ou pas...Bougre d'abruti qu'il était, il avait cru un instant que la rousse qui se trouvait devant lui n'était autre que celle qui était entre la vie et la mort sur le front poitevin. Bigre...Y avait décidément de plus en plus de roux, en Limousin & Marche ! Le gosse se redresse, frotte ses vêtements pour en retirer la poussière et gonfle le torse pour se donner une contenance, le blason au faucon d'argent et aux soleils d'or cousu sur son pourpoint se mettant par là même bien en valeur.

- Bah ! 'Scusez moi, j'vous avais pas vu ! Z'êtes là pour devenir soldat ? C'est bien connu, les roux font les meilleurs soldats ! Alors z'avez plus qu'à vous rendre dans le bureau du maître de camp, vous fera signer votre contrat ! J'vous y emmène ? L'bureau du Capitaine est pas loin, et j'vais par là justement. C'est par ici !

Timide Date d'inscription : 23/10/2011

Confuse et troublée d’avoir percuté ou plutôt, que le page se soit percuté sur elle et ait rebondit comme s’il avait frappé une grosse baudruche! Comble du malheur et de la maladresse, voilà que notre petit sonné l’appelait "Capitaine"?... Pour un peu et il disait "Maman c’est toi"? Rire réprimé en un grand sourire idiot, la rousse se contente donc d’un grand hochement de tête affirmatif quand on lui demande si elle veut devenir soldat et le suit bien sagement… Tous mots sortis de sa bouche auraient donné lieu à un rire hystérique et ce n’était pas le moment de montrer sa folie… la sagesse devait être première à se présenter…

Sourd-Muet Date d'inscription : 07/11/2011

Sa cape noire à capuche le recouvrant de la tête au pied, l’homme au teint de plâtre se retrouva devant ce qu’il n’aurait jamais cru… une caserne. Il regarda les édifices avant de s’avancer, se demandant ce qu’il foutait là.
Bien sûr, la réponse était évidente à ses yeux, mais était-ce une bonne raison ? Il allait se retrouver à proximité de tout ce qu’il détestait le plus en ce monde : une forte densité de moutons, qui plus est de ceux qui obéissent aveuglément aux ordres, il faut dire qu’il ne portait dans son cœur ni gens d’armes, ni militaire. À dire vrai, il n'aimait pas non plus les ecclésiastiques, ni les nobles... ni...
Bon d'accord, il fallait se faire une raison, il n'aimait pas grand monde, pour ainsi dire... personne. Mais il y avait, comme toujours, une exception…

Cette dernière pensée le fit reprendre le chemin de sa destination. Des voix s’éloignaient. Il ne s'en soucia guère et extirpa l’une de ses lames de son fourreau. Il détestait crier, alors, il cogna sur un cabanon avec le pommeau de son arme.

Il ne restait plus qu’à patienter. Ce qu’il se mit à faire. Au préalable, il tira sur sa capuche pour dissimuler un peu plus son visage plus pâle que la mort et surtout ses deux rubis qui lui servaient d’yeux.
Ceci fait, il sortit une pierre de l’une de ses poches. Il entreprit alors d’aiguiser sa lame. Il s'agissait surtout d'occuper ses mains plutôt que d'une réelle nécessité d'entretenir la lame qui était déjà parfaitement affutée...

Quelques temps plus tard

Il faut toujours mettre à contribution le temps qu'il vous est donné. C'est ce que fit Altahire alors qu'il patientait, plus le temps passait, plus son envie grandissait.
Tournant et retournant les choses dans son crâne, il en vint à la conclusion suivante : un volontaire n'avait rien à foutre la-dedans. Rasséréner, il fit donc demi-tour, s'éloignant sans hâte de ce lieu maudit et bienheureux qu'ils aient des oreilles aussi efficaces qu'une lame émoussée.
Il ne tarda pas à disparaître à l'horizon...
C'était à n'en pas douter, une bonne chose de faite.

Sujet: Re: Le petit cabanon Ven 11 Nov 2011 - 21:47

Le fort de la COLM se dessinait devant elle. Un petit sourire amusé vint se loger au coin de ses lèvres, en se souvenant du vieux garde bourru qu'elle avait déjà croisé à plusieurs reprises. En s'approchant, elle ne le vit pas...
*Tiens... le vieux bougre aurait-il fini par ne pas passer l'hiver ?*
Tout en se demandant ce qu'il avait bien pu devenir, la diaconesse s'approcha d'un garde de service, rabattant sa capuche sur ses épaules, elle s'adressa à lui.

Bonjour.

Je suis Sœur Neti, de Tulle. Le sénéchal m'a demandé d'assurer des cours. Pourriez-vous m'indiquer le chemin de l'académie où au moins lui faire savoir mon arrivée ?

Bah oui... on n'entre pas à la COLM comme dans un moulin... Alors la religieuse poireaute. Religieusement.

Sourd-Muet Date d'inscription : 13/11/2011

Annoncez la nouvelle connétable, merci.

Habitué Date d'inscription : 20/09/2009

Une toux grasse provenant de l'arrière du cabanon se rapprochait lentement. Après quelques seconde apparu le vieux garde plus barbu que jamais, les yeux pratiquement fermée, le nez rouge et coulant le tout emmitouflé dans plusieurs couches de laine. Il ne fallait pas oublier un détail, il se grattait l'arrière train avec un objet.

- L'Académie tu dis? C'est là bas, tout droit derrière la taverne, et c'la s'conde aile pour les cours du s'néchal! Vàla mam'selle. Un bécot pour remerciement? Et j'suis pas contre plus!

Le gardien stoppa de se gratter et sortit de derrière lui une statuette d'Aristote.

- C'est qu'cest binh plus utile que ça n'parrait et pis binh moins coupant que mon épée de l'aut' jour.

Fier de s'être fait saigner le cul il en afficha tout ses chicots lorsqu'il y avait encore des dents.
Une autre pucelle qui arrive, c'est son jour de chance.

- J'annonce la Connétable! Vlà! Un petit verre tous les trois?

Sujet: Re: Le petit cabanon Mer 30 Nov 2011 - 3:59

*Ah si, il a passé l'hiver, visiblement... mais pas bien vaillamment, on dirait...*
La pieuse rousse ne pu retenir une grimace de dégoût à la demande de baiser, aux avances indécentes et à la statue brandie. Pouerk ! Elle plongea la main dans une poche intérieure de son scapulaire, en ressorti un flacon qu'elle déboucha et dont elle jeta le contenu béni en direction des lèvres tendues du vieux dégueulasse. Non mais !

- De l'eau pure et bénie ! Voilà pour vous r'mercier. Ca doit faire un moment qu'vous n'en avez pas approchez... Estimez-vous heureux. Un p'tit verre ? Ah oui... j'peux aussi vous en servir un verre... Désolée, j'reste pas pour trinquer.

Joignant le geste à la parole, elle sorti une seconde petite fiole au même liquide transparent - faut toujours avoir des munitions sur soi - et la colla dans la paluche du croulant avant de passer son chemin pour prendre la direction de l'académie militaire.

Habitué Date d'inscription : 20/09/2009

Eullôôô! C'est qu'elle va s'calmer la rouquine là! L'aut' elle veut même pas partager son vin de messe. Sale rapia. Ouh boudiou.

Ça, c'était le cris qui montrait que le gardien de la caserne était énervé. On ne lui balancé pas tes trucs comme ça à la tronche, pas à lui. Lui qui en chiait tous les jours qu'Aristote faisait, sa vraie compagnie n'était pas celle de l'ordonnance du limousin et de la marche, c'était plutôt celle des bouteilles qui le consolaient, apaisaient ses maux, l'écoutaient et lui rendait chaleur au coeur et au corps.

Il est passé où le respect pour les plus anciens et les desservis? Et elle se dit pieuse la roukmoute? T'vas voir qui va gouter à mon pieux.

A grand pas il s'avança vers elle, commençant à attraper sa ceinture qui tenait ses trop larges braies, pour tenter de la faire fuir en vitesse.

Timide Fonction : Civile parmi les militaires Date d'inscription : 27/03/2010

Mais elle ne vit pas la ceinture... ni les braies qui pourraient menacer de choir... pas plus que la colère de l'édenté qu'elle prit pour une nouvelle provocation. C'est même à peine si elle l'entendait. Marchant d'un pas décidé et rapide - aussi rapide que sa soutane le lui permettait - vers l'académie, elle psalmodiait le Confiteor, serrant au creux de sa main sa médaille de clerc, à s'en imprimer les motifs sur la paume.

- Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sancti et vobis, fratres, quam peccávi nimis, coquitatióne, verbo et ópere. Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa. Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.

Elle a beau être pieuse, elle pèche, l'humaine. C'est même l'une des caractéristiques de son espèce, de ne pas être parfait. Elle le sait. Elle sait aussi qu'elle vient encore une fois de s'emporter et que la colère la rongera si elle suit ce chemin. Alors elle prie et se repend.

- Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sancti et vobis, fratres, quam peccávi nimis, coquitatióne, verbo et ópere. Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa. Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum. Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sancti et vobis, fratres...

Sourd-Muet Date d'inscription : 23/12/2011

Apres plusieurs semaines de réflexion sa décision était prise...Il allait postuler pour intégrer la compagnie d'ordonnance du Limousin et de la Marche. C'était donc d'un pas ferme et décidé que le jeune homme se rendit au fort et se dirigea vers le poste de garde.

Alors qu'il n'était plus qu'a quelque pas du petit cabanon, il ralentit l'allure et réfléchit à la meilleur façon de se présenter, car il se devait de faire bonne impression des le début...

Bonjour, je suis Damiàn de Castel Vilar de la Duranxie, Seigneur de Mugron.....

Non ! C'était nul et bien trop pédant.

Wesh gros bien ou bien ? je m'appelle Dam'....

Non plus ! bien trop vulgaire.

Le jeune homme finit par arrêter de se torturer l'esprit pour si peu et tenta une approche plus naturelle.

Bonjour soldat !

Je suis Damiàn de Castel Vilar, je viens de Limoges et je souhaiterai rejoindre les rangs de la COLM.

Habitué Date d'inscription : 20/09/2009

Que pouvez bien faire le vieux garde en cette saison, alors que les recrues fleurissaient aussi mal que les arbres défeuillés? Boire, étant sa seule raison de vivre et de se réchauffer? Ou était-il encore en train de se soulager par le besoin naturel pour éliminer la vieille pitance qu'on lui donnée à grailler ou par manque de fille de joie qu'il ne voyait plus passer? Non, pour une fois il travaillait, il dégageait la neige qui obstruait la porte de la caserne. A grand coup de pelle il balance cette blanche matière jusqu'à en envoyer une pelletée dans la tronche d'un arrivant qu'il n'avait pas entendu.
- Heulo! Pardon! J't'avais pas vu! Mais c'est que t'es bien sapé mon gaillard. De Casse del guitare tu dis? Bon alors Limoges c'est pas terrible en ce moment, y'a plus personne et pis y'a plus de Maistre de Camp pour t'accueillir. Que des glandouillards ces officiers! Moi dans mon temps c'était plus sérieux que ça, tous les grades étaient occupés et c'était pas des pecnots, alors que là tout se barre en couille. Même les miennes sont mieux rangées. Bon j'vais voir ce que je peux faire pour toi mon gars!
Sifflement pour alerter d'une visite afin que la nouvelle aille aux bonnes oreilles.

Incorrigible bavard Date d'inscription : 18/05/2011

Et le sifflement arriva aux bonnes oreilles, si l'on peut dire.

On vous épargnera la série d'intermédiaires qu'il fallut avant que la nouvelle n'arrive aux oreilles de la rousse Malemort, toujours est-il qu'occupée dans son bureau à faire passer les migraines qui étaient fort fréquentes ces derniers temps et l'empêchaient de travailler convenablement, elle fut trouvée par l'un des gardes de la caserne. Pas le vieux qui ne bougeait pas de son poste de garde, non, mais un plus jeune, plus fringant, qui gambadait si vite qu'on aurait pu le croire messager du Très-Haut. Après l'avoir laissé récupéré son souffle, elle écouta ce qu'il avait à dire avant de se lever pour prendre la route de l'entrée de la Compagnie.

Elle était pâlotte, la rousse. Bien trop pour que ce soit dû à la pâleur naturelle de sa peau. Les migraines, la fatigue, devait sans doute y faire beaucoup. Mais elle était Capitaine, pour quelques jours encore au moins, et elle devait assumer son rôle jusqu'au bout, même si elle était bien moins efficace ces derniers temps.
Epée au côté, cape de la Licorne sur les épaules, elle arriva devant l'homme qu'elle avait quelques fois rencontré à Limoges. Une nouvelle recrue ? Quelle bonne nouvelle.

Regard au vieux garde, avec message subliminal lui indiquant qu'il peut retourner picoler maintenant qu'elle est là - encore faut il qu'il puisse comprendre les messages subliminaux, elle se présenta ensuite au Castel Vilar, bien qu'ils se connaissaient déjà.

- Bonjour Damiàn. Aldraien de Malemort-Carsenac, mais j'imagine que vous vous souvenez de moi. On m'a dit que vous souhaitiez intégrer les rangs de la Compagnie, est-ce bien cela ? Vous n'êtes pas sans savoir j'imagine que la guerre n'est pas finie et que vous risquez de devoir vous battre prochainement. Etes vous prêt à cela, avec toutes les conséquences que cela pourrait impliquer ?

Sourd-Muet Date d'inscription : 23/12/2011

Le garde était réactif mais il semblait sourd comme un pot " De casse del guitare", on lui avait pas encore faite celle là. Le jeune homme écouta les doléances du vieux gardes sans trop y faire attention...a croire que c'était une tradition de mettre les grincheux à l'entrée des casernes.

Quelques secondes après le sifflement le capitaine fit son apparition....euh était ce bien le capitaine ? Damiàn avait beau l'avoir déja croisé il n'avait pas souvenir de ce teint aussi cireux.

On m'a dit que vous souhaitiez intégrer les rangs de la Compagnie, est-ce bien cela ?
C'est bien cela.
Etes vous prêt à cela, avec toutes les conséquences que cela pourrait impliquer ?
Tout à fait. J'ajouterai même qu'il me tarde de retrouver les champs de bataille.

Le jeune homme n'était pas un barbare assoiffé de sang, mais son role de gratte papier avait bien trop duré, il avait hate de retrouver un peu d'action.

Habitué Date d'inscription : 20/09/2009

Le vieux garde, chercha dans sa poche un petit trousseau de clef, et avant meme que son Capitaine lui dise quelque chose, il le remit a cet homme voulant s'engager dans la COLM. Un rictusse de son unique chicot.

....Vla mon Gars.....le connetable doit tres certainement vous attendre, il vous fera remplir un petit formulaire d'integration et pit une petite piqure a l'infirmerie et vous serez tres certainement integrer de grer pour une fois

Habitué Date d'inscription : 31/12/2011

On l'avait fait appelé puis l'avait mené a travers les dédalles de couloirs jusqu'à l'endrit ou elle était attendu...

Gratifiant d'un signe de tête en guise de salut le vieux garde, elle s'adressa à l'autre présent...

Bonjour, Je me nommes Asarine d'Izoard, Connétable du Limousin et de la Marche.

Je vous prie de bien vouloir me suivre jusqu'au bureau du Maitre de camps

Sujet: Re: Le petit cabanon Lun 30 Jan 2012 - 0:50

Koios arrive dans la caserne. La Capitaine lui avait montré le chemin ... maintenant il y était. Il marcha donc jusqu'au hall d'entrée et se présenta donc :

Bonsoir ! Je suis Koios d'Albizzi, Seigneur de Lacourt. Je viens pour la douane, je suis le chef dounier du Limousin.

Koios se tût et s'apuiya contre un piller ...

Habitué Date d'inscription : 31/12/2011

On l'avait fait prévenir que le chef douanier attendais a l'entrée du cabanon, elle avait donc quitté son bureau pour l'accueillir

Bonjour Alex, ravie de te voir ici ! Si tu veux bien me suivre dans mon bureau, nous y serons mieux installé pour parler de tes fonctions et de ton installation parmi nous...

Sourd-Muet Date d'inscription : 01/02/2012

Bonsoir,

Etant nouveau dans le village de guéret et n'aimant pas trop rester sans rien faire, je me demandais si je pouvais rendre service à l'armée pour le limousin ?

Merci,

Habitué Date d'inscription : 20/09/2009

Brrrroooouuuuuuuhhhh !!!!! Nom d'un chien qu'est ce qu'il gele aujourd'hui, c'est a croire que le soleil brille trop haut dans le ciel pour rechauffer l'air ici bas. Petite galtouz sur le feu, une soupaille mitonne doucement. Petite louchette dans la gamelle, un quignon de pain et le vla qu'il entame son diner.

Bonsoir,

Etant nouveau dans le village de guéret et n'aimant pas trop rester sans rien faire, je me demandais si je pouvais rendre service à l'armée pour le limousin ?

Merci,

Il s'est perdu celui la !??
Reniflant une derniere fois le fumet de sa soupe avant de repondre au lascart qui vient d'arriver.

Salut mon p'tit gars, tu viens pour partager ma soupe ? ricanne doucement de son un chicot Bon plus serieusement, tu viens de Gueret, c'est bien cela mon p'tit gars, c'est une ville charmante notre Capitaine est originaire de la-bas.
Quel type de service voulez vus rendre a l'armee ?

Grignotant son pain en attendant que l'homme lui reponde.

Sourd-Muet Date d'inscription : 01/02/2012

Romeo fit un sourire à l'homme quand celui-ci lui demanda si il venait partager sa soupe, pas qu'il n'aimait pas, bien au contraire.

Bonsoir à vous,

Non je ne suis pas là pour la soupe, dit il en souriant

J'aimerais rejoindre l'armée pour rendre service au limousin et à mon nouveau village bien entendu, j'aimerais me porter volontaire pour aider les habitants, en prenant les armes si il le faut.

Aussi je n'ais pas peur de perdre la vie pour en sauver d'autre. Il était sérieux, motivé pour devenir militaire et pourquoi pas y faire une carrière

Regardant l'homme plus sérieusement il ajouta : Si vous avez des questions plus précise, n'hésitez pas.

Sourd-Muet Date d'inscription : 01/02/2012

Il attendit toujours une petite réponse de quelqu'un, cela n'était pas le cas, pensant que l'armée n'avait pas besoin d'homme.